L'utilisation de logiciel open source est la seule voie qui garantisse l'intéropérabilité des systèmes. L'utilisation de logiciel libre irait encore plus loin dans ce sens et est encore plus intéressante pour l'économie européenne mais là n'est pas le problème aujourd'hui.

"Dans la future version 2.0 du document, la définition stricte et précise d’un standard ouvert a disparu. Elle est remplacée par une vague notion de « spécifications ouvertes ». En fait, les mots mêmes de « standard ouvert » n’apparaissent plus dans la version 2010 du document, tandis que même le mot « standard » n’apparaît que marginalement." est expliqué sur Toolinux.

"Pour la CNLL, la version 2010 des recommandations européennes affirme que l’interopérabilité n’a pas besoin de standards ouverts, ni même de standards tout court, et finalement pas non plus de spécifications ouvertes, ni même de la moindre ouverture."

C'est une poignée d'entreprises Américaine qui dicte le directoire Européen, je ne suis pas d'accord. Nous devons prendre conscience du potentiel que l'Europe possède dans le secteur du génie logiciel, des systèmes d'information et des nouvelles technologies. Prenons notre destin en main et arrêtons de donner nos sous à des entreprises privés qui ne sont pas sur notre continent.

Le standard économique ne doit pas s'appliquer au logiciel. Les logiciels ne sont que des utilitaires qui doivent contribuer à améliorer notre société. Les logiciels ne doivent pas nous enfermer dans le rackette. Ne laissons pas quelques entreprises nous dicter notre manière de communiquer, notre manière de consommer non plus.